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GUADELOUPE – LA VILLE DE SAINTE-ROSE INVITE A CÉLÉBRER LES LIBERTÉS INSPIRÉES PAR LA RÉSISTANCE CONTRE L’ESCLAVAGE

Le réseau Mémoires & Partages invité par la Ville de Sainte-Rose pour les commémorations de l’abolition de l’esclavage.

Karfa Diallo y présente le 24 mai une conférence sur « Pédagogie pour l’éducation et les actions culturelles autour de la mémoire de l’esclavage ».

À l’occasion de la commémoration de l’abolition de l’esclavage, la Ville de Sainte-Rose invite la population à découvrir « Mai Libertés » jusqu’au 31 mai 2024. Un programme varié d’événements est prévu pour illustrer Liberté et Fraternité.

La ville de Sainte-Rose, témoin de grandes luttes sociales depuis plusieurs siècles a fait le choix de transcender la question de l’esclavage et propose pendant ce mois de mai « d’œuvrer aux souvenirs pour ne jamais oublier ».

Située au nord-est de Basse-Terre, la commune de Sainte-Rose est la plus étendue de Basse-Terre. Sainte-Rose obtient son nom à la Restauration qui lui redonne définitivement ce nom en hommage à Sainte-Rose de Lima.

La ville est colonisée en 1635 par 400 Français avec à leur tête les sieurs Du Plessis et de l’Olive et est fondée le 26 novembre 1790. Nommée dans un premier temps « Grand-Cul-de-Sac-Marin » puis Saint-Pierre, Victor Hugues l’a aussi baptisée « Tricolore » en 1794. Au creux de la montagne, la ville est découpée en 18 quartiers dépendant des grandes habitations sucreries, qui au 18e siècle s’en sont partagées les terres. Les cultures du coton et du tabac ont vite été abandonnée au profit de la canne qui fait de cette région le centre du sucre et du rhum.

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